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En réponse à :
Régis Debray la littérature au cœur.
31 mars 2013
Peut-être, sommes-nous vraiment, cher Régis Debray, les derniers des Mohicans. Mais à votre mélancolie trop chateaubrianesque, j’opposerai mon incurable optimisme, qui se justifie largement du voyage que vous nous proposez en littérature. Non, il n’y a pas lieu de « se décourager de durer ».